Je m’interroge !

En effet, je ne cesse de chercher à comprendre toutes ces flopées de « transhumance politique » et de « transhumance journalistique » pratiquement tous les jours au Sénégal. Nous avons du mal, vraiment du mal à suivre nos jeunes journalistes. Ils escaladent l’escalier de la pratique avec une irrégularité telle qu’on s’y perdrait. Escalier ? Le terme semble on ne peut plus inadéquat car l’évolution de ces jeunes, je ne la vois pas sous forme de progrès. Phénomène dont je ne constate l’existence que chez nous : la forte mobilité des journalistes dans la sphère médiatique. Dois-je la regretter ? Loin s’en faut. Je n’en suis heureux que trop !